Focus sur… le Tuareg Hacker
Nouveauté de janvier 2008, la seconde figurine Tuareg est un Hacker. Le joueur Haqquislam bénéficie donc d’un Hacker possédant une des plus grandes volonté du jeu (15) associée aux compétences infiltration et camouflage TO. Quels sont les intérêts, avantages et inconvénients du Tuareg Hacker ?
Les Tuaregs sont une élite Haqquislam. De caractéristiques légèrement plus élevées que la moyenne, ils bénéficient surtout des compétences infiltration et camouflage TO. Cette combinaison rendait déjà le sniper très intéressant en tant que Franc tireur. Quels en sont les avantages pour les Hackers ?
Pour rappel, un Tuareg peut donc être déployé librement dans sa moitié de terrain, voir au delà en contre-partie d’un test de PH (physique) réduit cumulativement de 1 par tranche de 10 centimètres au delà de la moitié de terrain. Avec un PH de 12, ça se tente. Au pire, elle perdra le statut de camouflé. Mais bien placé, est-ce si grave ? En effet, si c’est des considération importantes pour un sniper, elles le sont moins pour la fonction d’un Hacker. Car quel est l’intérêt de déployer un Hacker au delà de la ligne de front, si ce n’est une grande agressivité ?
En effet, si l’exploit défensif peut être réalisé de n’importe où, ce qui permet de conserver son hacker bien à l’abri, le hack offensif nécessite d’avoir d’une manière ou d’une autre une proximité avec son objectif. En effet, pirater un TAG, un ILO ou un drone nécessite de se trouver à 20 centimètres de lui. De même pour griller le cerveau du hacker ennemi, et ne nécessite aucune ligne de vue. Ainsi, grâce à ses compétences infiltrer et camouflage TO, le hacker tuareg peut se situer dès le début de la partie à portée de ses cibles. Avec un PH de 12, il peut prendre le risque de se rapprocher. Si le décor est bien choisi (bien à couvert, pas de lignes de vue entre lui et ses ennemis), il peut se permettre de rater son jet de PH même si cela sacrifie l’effet de surprise car il ne sera pas en trop grand danger. Par la suite, sa VOL (volonté) de 15 lui permet de réaliser ses exploits assez facilement. Avec de la chance, le contrôle d’un TAG dès les premiers tour pendant qu’il est encore dans les lignes adverses peut faire un carnage. L’immobilisation des drones et ILO est un bon coup de frein à l’adversaire.
Comme tout tuareg, le hacker est donc un très intéressant franc tireur qui permet de réaliser un assaut électronique efficace très tôt dans la partie. Son gros défaut est qu’il est cher : 42 points. 7 de plus que le sniper, 17 de plus que le hacker Ghulam. Ce tarif le réserve donc bien à des actions offensives contre une armée technologique. Dans les tournois selon le format Bureau Aegis, ce peut être une pièce à garder dans sa réserve.
À propos de... Darko Stankovski
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